Changer des vies
Donner

Histoire d’impact

Alasdair

J’ai travaillé dans l’industrie de la restauration pendant des années jusqu’à ce que mon combat avec l’alcool me coûte mon emploi. Au début, je devais seulement me serrer la ceinture, mais par la suite, je ne pouvais même plus me permettre de manger. Heureusement, j’ai pris contact avec un programme de repas et une agence près de chez-moi. Ils ne m’ont pas seulement offert un repas sain, ils m’ont offert le commencement d’un nouveau départ. Aujourd’hui, je suis bénévole dans la même cuisine qui m’a aidé parce que je sais combien un repas peut changer une vie.

Angie

J’ai perdu mon meilleur ami le jour où mon mari est mort. En un instant, j’étais seule. Les petites choses me manquent. Comment faire un sens de sa vie lorsque son meilleur ami n’est plus? Heureusement, j’ai trouvé un programme local pour les aînés qui représentait exactement ce dont j’avais besoin afin de reprendre le contrôle sur ma vie. Aujourd’hui, je vie ma vie à sa pleine capacité, entourée d’amis.

Dawn

J’ai échappé à une relation abusive. Je me sentais si seule et sans valeur. J’avais besoin d’un nouveau départ, mais il m’était difficile de passer à autre chose. Je ne croyais pas que ma vie puisse s’améliorer un jour. Puis, j’ai visité un centre de ressources familiales et pour la première fois depuis plusieurs années, je me suis sentie en sécurité. J’étais entourée de gens attentionnés. Aujourd’hui, j’aide d’autres gens à trouver la sécurité et un sentiment d’appartenance tout comme on l’a fait pour moi.

Grace

Il est difficile de préparer un repas sain avec le budget d’un aîné. Je suis née pendant la guerre. Je ne me souciais pas de la valeur nutritive, tant que ma famille avait quelque chose à manger. Il est difficile de cuisiner un bon repas lorsque l’on vit seule, mais un programme alimentaire local m’a tout appris d’une alimentation saine, notamment comment lire les étiquettes et cuisiner avec un budget. Aujourd’hui, je suis heureuse et ma santé est meilleure. Je me suis fait plusieurs amis qui font toute la différence.

Jerilyn

Chacun sait ce que c’est que de faire face à des moments difficiles. J’ai eu mes hauts et mes bas, je me suis sentie seule et déconnectée. Lorsque j’ai commencé à faire du bénévolat pour une ligne de crise, j’ai réalisé que je pouvais aider des gens à faire face à leurs propres défis; les grands comme ceux qui ne demandent que de passer à l’étape suivante. Aujourd’hui, j’ai plus qu’une carrière significative, j’ai une mission; celle d’aider des gens à trouver espoir durant les moments difficiles.

Nicole

Lorsque j’étais jeune, j’avais le sentiment que l’argent équivalait à la valeur d’un individu et la mienne était nulle. J’ai quitté le secondaire et développé une dépendance aux drogues. Après un séjour en prison, je savais qu’il était temps de changer. Heureusement, j’ai reçu l’aide dont j’avais besoin et grâce à un programme d’éducation financière, j’ai même changé ma perception de l’argent. Aujourd’hui, je prends le contrôle sur mon avenir et j’aide d’autres femmes à en faire de même.

Pauline

Mes jumelles sont parfaites. Elles sont brillantes, aimantes et amusantes, mais elles ont également fait face à des défis développementaux. À 18 mois, elles parlaient à peine et je pensais que c’était de ma faute. Lorsque j’ai découvert les programmes pour les besoins spéciaux, tout a changé. Aujourd’hui, mes filles sont heureuses, sociable et prête à commencer l’école à l’automne. Je ne pourrais être plus fière.

Rama

Nous avions une belle vie en Syrie avant la guerre. Mon mari était avocat et moi j’enseignais à l’université locale, mais la vie est devenue trop dangereuse. Je quittais la maison chaque jour en disant au revoir, ne sachant pas si j’allais un jour revenir. La vie au Canada nous a apporté la sécurité, mais aussi une nouvelle langue et une nouvelle culture. Nous nous sentions seuls. Heureusement, une agence dans notre quartier nous a aidé à naviguer dans notre nouvelle communauté qui est maintenant notre chez-nous. Aujourd’hui, quand je pense à l’avenir, j’ai de l’espoir.

Verdann

En grandissant, je n’avais pas vraiment d’appartenance nulle part. Je dormais sur des divans, logeais dans des maisons de transition, j’ai même dormi dans la rue. C’est difficile pour un enfant de ne pas savoir si on aura un endroit sécuritaire où dormir. J’ai finalement trouvé un endroit qui me donne un sentiment d’appartenance et aujourd’hui, je suis coordonnateur d’un programme pour les enfants. J’aide des enfants comme moi à se sentir en sécurité, pris en charge et prêts à conquérir le monde.